Seine Musicale, nouvelle saison d'Insula Orchestra - Ilôt Dynasties - invitations

Chaque mois, la Seine Musicale accueille un « îlot » musical composé de plusieurs concerts donnés par les musiciens de l’orchestre en résidence et/ou d’artistes et équipes artistiques invités.

30 places sont offertes aux membres de la Société des Amis de Versailles par le Département des Hauts-de-Seine - exclusivement sur inscription ci-dessous.

Le Palais Royal – Tout est lumière – vendredi 25 janvier à 20h30  programme

du Second Empire jusqu’à la Belle Époque, une époque où l’on valse, où l’on boit et où la grande mode consistait à invoquer les esprits. Le programme mêle les œuvres de Saint-Saëns, Gounod, Massenet, Fauré, Debussy, Paladilhe, Widor et Ravel.

Justin Taylor, clavecin pères et fils – samedi 26 janvier à 16h30  programme

Chez les Forqueray au début du XVIII° siècle, ce n’est pas « Dynastie » mais « Dallas » ! Une enfance malheureuse, un père qui le fait emprisonner et tente de le bannir du royaume : tel est le triste sort de Jean-Baptiste-Antoine Forqueray, jalousé pour ses dons éclatants par son géniteur, Antoine, compositeur lui aussi. L’univers des Couperin n’est pas aussi impitoyable. Le grand maître du clavecin François Couperin a tout appris de son père et a eu comme parrain un autre membre illustre de la famille : son oncle Louis. Le prodigieux claveciniste Justin Taylor, révélation des Victoires de la musique 2017, fait revivre ces deux héritages familiaux dans un récital à la mesure de son talent.

Rachel Podger & the Bach(s) – samedi 26 janvier à 20h30 programme

Chez les Bach, la musique est une affaire de famille. Sur sept générations, 31 membres de la lignée sont devenus musiciens professionnels. Lorsqu’il naît, en 1685, Johann Sebastian est déjà issu d’un siècle d’organistes, facteurs de clavecins, musiciens de ville ou de cour. S’il est devenu le plus célèbre, il ne faut pas oublier Johann Michael I (1648-1694), son beau-père ! À la tête de son ensemble le Brecon Baroque Ensemble, Rachel Podger, que l’on retrouve ici pour la seconde fois de la saison, dessine les contours d’une partie de la famille Bach sous l’angle de la musique vocale religieuse, avec une incursion dans l’œuvre de Buxtehude, le père spirituel des Bach. Une affaire de famille au sens large.